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mardi 17 janvier 2012

Louis Joseph Janvier

ouis-Joseph Janvier débute des études de médecine à Port-au-Prince, puis les poursuit en France àParis où il obtient le diplôme de Docteur en médecine de l'Université de Paris en 1881. Il entre ensuite à Science Po, d'où il est diplômé deux ans plus tard, avant d'obtenir une licence en droit à Lille1.
À Paris, il contribue à des journaux et revues en publiant de nombreux articles sur l'histoire d'Haïti et donne une autre version des faits historiques de ce pays. Il regroupe ses articles dans des recueils qu'il intitule « La république d'Haïti et ses visiteurs » (1882), « Haïti aux Haïtiens » (1884), et « L'Egalité des races » (1884). Il collabora à un volume collectif, « Les Détracteurs de la race noire et de la République d'Haïti » (1884).
Louis-Joseph Janvier est chargé d'affaires puis ministre plénipotentiaire à Londres. Il ne rentre au pays qu'en 1905.
En 1908, il est candidat malheureux à la mairie de Port-au-Prince.
Il retourne diriger la légation d'Haïti dans la capitale anglaise. Enfin il est nommé en poste à Paris ; il y meurt le 24 mars 1911.

Bibliographie[modifier]

Essais[modifier]

  • Phtisie pulmonaire; causes, traitement préventif, Paris: A. Parent, 1881.
  • Les Détracteurs de la race noire et de la république d'Haïti (avec Jules Auguste, Clément Denis, Arthur Bowler et Justin Dévost), Paris: Marpon et Flammarion, 1882.
  • La République d'Haïti et ses visiteurs (1840-1882); réponse à M. Victor Cochinat (de La Petite presse) et à quelques autres écrivains, Paris: Marpon et Flammarion, 1883; Port-au-Prince: Éditions Fardin, 1979.
  • L'Égalité des races, Paris: G. Rougier, 1884.
  • Haïti aux Haïtiens, Paris: A. Parent, A. Davy, 1884.
  • Les Antinationaux, actes et principes, Paris: G. Rougier, 1884; Port-au-Prince: Panorama, 1962.
  • Les Affaires d'Haïti (1883-1884), Paris: C. Marpon et E. Flammarion, 1885; Port-au-Prince: Panorama, 1973.
  • Les Constitutions d'Haïti, 1801-1885, Paris: C. Marpon et E. Flammarion, 1886; Port-au-Prince: Fardin, 1977.
  • Du Gouvernement civil en Haïti ; avec le portrait de l'auteur, Lille: Le Bigot frères, 1905.
  • La caisse d'épargne et l'école en Haïti, Port-au-Prince: Imprimerie de l'abeille, 1906.
  • Élections législatives de 1908 ; humble adresse aux électeurs de la commune de Port-au-Prince, Port-au-Prince: l'Abeille, 1907; Port-au-Prince: H. Chauvet, 1908.

Demesvar Delorme

ean Demesvar Delorme

Jean Demesvar Delorme
Fonctions
Secrétaire d'Etat de l'Intérieur, des Relations extérieures et des Cultes
10 février 1868 – 26 mai 1868
PrésidentSylvain Salnave
SuccesseurDaguesseau Lespinasse
(Relations extérieures et Cultes)
Secrétaire d'Etat des Relations extérieures, des Cultes et de l'Instruction publique
21 juin 1867 – 5 février 1868
PrésidentSylvain Salnave
Biographie
Date de naissance10 février 1831
Lieu de naissanceDrapeau : Haïti Cap-Haïtien (Haïti)
Date de décès25 décembre 1901 (à 70 ans)
Lieu de décèsDrapeau : France Paris (France)
Nationalitéhaïtienne
ConjointNélia Gresse
Antonia Hupp
ProfessionJournalisteenseignant

Sommaire

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Biographie[modifier]

Le 7 mai 1842, Demesvar Delorme est témoin du tremblement de terre qui détruisit toutes les villes de la côte Nord d'Haïti1.
En 1865, Demesvar Delorme participe avec Sylvain Salnave à la rébellion contre le président Fabre Geffrard.
Après la chute de Geffrard et l'élection de Salnave, il entre au gouvernement commeMinistre des Relations extérieures et des Cultes, puis plus tard comme Ministre de l'Éducation.
En 1868, il est contraint d'abandonner ses fonctions ministérielles et s'embarque pourParis.
En France, il publie un certain nombre d'ouvrages politiques.
Il meurt à Paris en 1901.

Bibliographie[modifier]

  • Bulletin de la Révolution - article, publié en 1865
  • La Reconnaissance du Général Salnave - article, publié en 1868
  • La Démocratie et le Préjugé de couleur aux États-Unis - article, publié en 1868
  • Le Système Monroe - article, publié en 1868
  • Les Théoriciens au pouvoir - essai, publié 1870
  • Francesca - roman, publié en 1873
  • Réflexions diverses sur Haïti - essai, publié en 1873
  • Les Paisibles - article, publié en 1874
  • Le Damné - roman, publié en 1877

ALCIBIADE FLEURY BATTIER

Alcibiade

Plusieurs personnages ont été marquants dans l’histoire de la civilisation occidentale. Sans les œuvres des écrivains, nous n’aurions pas pu en savoir autant sur nos origines. Plutarque est une des personnes ayant servi à recueillir de l’information sur de grands personnages comme Alcibiade. C’est dans sa portion de Vie d’Alcibiade tiré de son recueil Les vies des hommes illustres qu’il fait la biographie d’Alcibiade. Tout d’abord, l’auteur sera présenté et le contexte entourant l’écriture de l’œuvre. Une analyse du texte sera par la suite faite ainsi que celle de son influence sur les siècles suivant son écriture.

Présentation
Ce texte sur la vie d’Alcibiade a été rédigé par Plutarque dans son livre Les vies des hommes illustres écrit à la fin du premier siècle. Plutarque est né à Chéronée en 46 avant J.C. et est mort à Thèbes en 120 après J.C. Il est donc né durant la période hellénistique, mais a pour la majeure partie de sa vie vécu durant la période de la République et du Haut-Empire de la Rome Antique. En écrivant son livre, aussi intitulé Vies parallèles, Plutarque a voulu faire une comparaison entre les différents personnages marquant de l’histoire. Ainsi, il a choisi vingt-trois Grecs et les comparent avec leur équivalant romain en faisant leur biographie respective.[1]

Contexte
C’est en 147-146 avant J.-C. que la Grèce passe aux mains des Romains. Toutefois, malgré son convertissement en une province romaine, les Romains seront fortement influencés par les idées et la culture grecques. [2] L’architecture, la littérature, le théâtre ne sont que quelques exemples de l’hellénisation de Rome. La Grèce est alors sous un régime républicain. Cependant, il y a beaucoup de conflits et plusieurs ne sont pas d’accord avec la structure politique de la Grèce. Après l’assassina de César, vient ensuite le régime du principat instauré par Octave. Le Sénat   le nomme Augustus ce qui lui donne la puissance et l’autorité. [3] Avec le régime du principat, le Sénat,...

lundi 2 janvier 2012

Livre SAVOIR ET AIMER

REMERCIEMENTS !
Je remercie Dieu et je vous remercie d’avoir consacré votre temps, afin que vous puissiez lire le contenu de ce livret, SAVOIR ET AIMER (Tome ll) sortira bientôt, vous trouverez la suite de cette histoire !
Un remerciement spécial à:
ELMOND MARIE Flaure
Dominique GERBIER
Paterson JOSEPH
NAZAIRE Godyni
@PwodiksyonLokal
DUVERNE James







Pour vos commandes tapez le numéro suivant : +509(3)155-84-42
Courriel et Face book : sommervilc@yahoo.com, pour plus d’infos visitez : www.PwodiksyonLokal.blogspot.com
2012-2013
SAVOIR ET AIMER
(TOME I)
JERRY & KATTY







Écrit  par :
Clifton SOMMERVIL



  



 Avis aux lecteurs
Chers lecteurs, cet ouvrage contient une histoire assez modeste qui pourra vous servir d‘exemple.
                   Je vous conseille de ne pas le lire ‘’juste pour lire’’, mais de le lire pour en tirer ce qui est pour vous.
J’ai réalisé cet ouvrage suite à des remarques que j’ai faites chez nombre de gens qui n’ont pas su quoi faire en cas d’amour et d’amitié. Je vous encourage à le lire. Tirez profit de la sagesse !
N’oubliez jamais que votre vrai Père, Jéhovah, vous aime beaucoup !











On sait qu’à partir du mois d’Août, tous les parents s’occupent de l’achat des matériels scolaires de leurs enfants pour ne pas avoir la tête lourde au début des cours.
Un jeune homme de 17 ans qui se nomme Jerry, n’a pas pu aller à l’école, tandis qu’auparavant son oncle Kim qui l’aidait à surmonter ses charges, ne voulait plus l’aider parce que la mère de Jerry lui a injurié d’avoir  dit à son neveu  des mots qui n’étaient pas du tout agréables.
Jerry n’a pas eu la chance de trouver l’affection, la tendresse, et le réchauffement d’un père, parce que le sien à disparu, lorsqu’il avait 4 ans, du mois de septembre à décembre, Jerry restait     à la maison parce que son moyen économique, assez faible, ne lui permettait pas de payer ses frais éducatifs. Sa mère était inconsolable parce qu’elle ne pouvait pas le pousser à l’école. Il y’avait un monsieur qui se nommait Jack ayant appris cela, invita couramment Jerry à devenir apprenti de son métier, ‘’LA COUTURE’.
 Jerry qui  n’était pas têtu, a bien voulu apprendre le métier -  se leva de bon matin et déjà s’était rendu chez Mr. Jack.                           


2
Jerry : TOC, TOC, TOC, il frappa la porte
Jack : ouais c’est qui là ?
Jerry répond à voix basse : c’est Jerry ton futur apprenti ! J’aimerais commencer aujourd’hui, ça ne vous causerait de problème Mr. Jack ? Oh non, mon petit ! Par ici Jerry, le shop est ici. Monsieur Jack commença tout de suite par parler Jerry de l’importance de la couture. Sans trop durer, les messieurs  quittaient la théorie pour passer à la pratique. D’ici le mois de janvier, Jerry était déjà super bon et gagnait déjà son argent.                                                                                                                                                       
Le 4 janvier, tous les élèves étaient surpris de voir Jerry, ils se moquaient de lui, Junior son meilleur ami agissait différemment,
- BIENVENUE Jerry ! Tu m’as beaucoup manqué !     
 -vraiment, dit timidement Jerry
 –oui surtout quand l’enseignant faisait le math, je me disais que ta présence me serait vraiment utile, j’avais même l’impression, que ce serait un cadeau du ciel !
 –Bonjour Classe     
--Bonjour Professeur !
--Jerry dit à junior : « Mettons un terme a notre conversation, notre prof vient d’arriver » ! (CLENG, CLENG, CLENG) on a sonné,
--Allons-nous Jerry !
--Où ?
--Jouer au Basketball ;
--Non, ce serait mieux de jeter un coup d’œil sur ceux nous venons de voir avec le prof !
 –tu fais toujours l’embarras toi !
 –ouah ! Quelle beauté ! Qu’en penses-tu de celle la Jerry ?
 –Elle a l’air d’une princesse répond Jerry
–c’est l’amie de Sabrina, je vais lui faire part de mon amitié
 –Arrête mon vieux, mais elle est nouvelle !
–Mais Jerry on doit commencer par le commencement (Jerry se met à rire)
--Salut poupée, je m’excuse de t’avoir discontinué. Est-ce accessible de te parler un peu ?–oui, a repondu sèchement la brillante fille !
–Quel est ton prénom ?
 -- Katty !
–Moi, c’est junior, tu viens d’où ?
--Mariani (Gressier) pourquoi toutes ces questions ?
–Il répond en bégayant : pour, pour, pour, rien, je voulais juste être ton ami, et te parler, parce que tu, tu, ressembles a une personne lucide
--D’accord pour la demande, au revoir Junior !
 –Au revoir Katty !
–Jerry, tu as entendu ces propos ?
 –Formidable ! Mais, avec un ton d’hostilité,
 -Cheups, j’ai oublié de prendre ses coordonnées,
 -euh, Jerry, le temps perdu ne se rattrape jamais (la il se met à courir) attends Katty! J’ai quelque chose à te dire
 –encore toi ? Monsieur le petit curieux ! (Jerry se met a rire)
–tu sais, te parler c’est donner a boire quelqu’un qui est assoiffe. –Ah bon ! Suis-je YAHWEH ?
–tu n’es que toi, mais,
 -Arrête avec tes moqueries,
 -Passons a autres choses (je voulais avoir ton numéro de portable, je ne sais pas si tu peux, eux, eux,
-si je peux quoi ? Pourquoi faire ? dit-elle sèchement!
Mais, on est ami, notre amitié a besoin de conversation pour survivre,
 Katty répond : comme les plantes a besoin de l’eau pour survivre ! N’est-ce pas junior ?
 Junior ne savait quoi répondre, la sueur de son front était comme celui d’un ruisseau, ses pieds tremblent, il tombe dans un profond angoisse, il répond avec vivacité ‘’OUI, OUI’’
 Puis, la jeune fille répond sèchement : Bonne fin D’journée Junior ! En revenant près de Jerry,
Jerry lui a questionné : Que s’est-il passe mon ami ?
 –rien, juste qu’elle m’a refuse son numéro !
–mais, ce n’est pas la fin du monde, il y’a un temps pour sourire, et un pour gémir ! Junior ne lui a pas tout explique. La récré est termine, Jerry lui-même ne courrait pas a l’aube des filles, il venait que pour acquérir des connaissances, non pour rechercher des filles ! Contrairement à Junior, qui est un coureur de jupe, qui a surpris du ton que Katty lui parlait ! Parce qu’il est charmant, et très galant ! Il ne cessait d’organiser un plan pour convaincre Katty ! 1mois après,
 -Salut maman !
–Bonsoir Jerry, comment ca a été en classe ? La journée était parfaite ?
–comme toujours maman chérie ! En ouvrant sa valise, il a trouvé une lettre, qui pourrait m’envoyer cette missive ?

 –Salut Jerry, j’espère que tout va bien, pour toi idem pour ta famille, le but de ma missive n’est pas convoquant, ni une proposition, je veux juste te faire part de mon amitié, parle-moi je t’en prie Jerry ! De plus, on est dans la même salle, on est camarade ! je ne vois aucune raison de ne pas partager les liens d’amitiés ! J’attends une réponse positive ! De KATTY a JERRY.
Ce fut le plus grand étonnement de Jerry, de Katty ? Quelle coïncidence ? –puis, il enveloppa de nouveau de nouveau sa missive, et l’emprunta dans sa valise !
 –il est déjà 10h : pm, Jerry s’il te plait, cesse de jouer le PSP c’est l’heure de dormir !
–d’accord maman chérie
 –durant toute la nuit Jerry n’arrête pas de penser à la lettre dont-il a reçu de Katty !
–euh, le temps est a cheval c’est déjà 6h : 36 Am, lève toi petit !
 –Maman, j’irai prendre ma douche le plus tôt possible, laisse-moi 5 petites minutes ! Après son petit déjeuner, il félicitait sa petite sœur Thaly, hum ! C’est formidable !
Mais, oui enfant gâté !
–Au revoir Mamie, au revoir Thaly ! il avait hâte d’y aller,
-Bonjour Junior !
 –Salut Jerry comment vas-tu ?
–couci-couça, on fait que regarder ce qui fabrique !
 –Junior, devine qui m’a envoyé une lettre ?
–ton oncle Kim peut-être !
 –Ah ! Non, mon  vieux, la fille avec laquelle tu parlais,
 -mais, j’ai beaucoup parle, et avec toutes les filles !
–celle qui t’avais refuse ?
–ah, bon ! Ne me dis pas Katty ?
–exact !
–ou est la lettre ? Laisse-voir !
 -le voici ! Il lisait avec fureur la lettre, en ajoutant : oh ! Félicitations mon vieux ! –Junior appréciait tendrement Katty ; il prétend capable de garder le secret, il’ appelait Katty,
 -Katty 2minutes s’il te plait !
 –je t’écoute Junior
–pourquoi tu as envoyé Jerry une lettre ?
–Quelle missive ? tu parles de eeee
–oui, c’est exact, j’aimerais bien savoir la raison !
–pour une raison intime, tu es son avocat ?
 –plus que ca, en plus Jerry est un coureur de jupon, il’ ne laisse passer aucune chance, il’ peut même accéder a la violence pour achever ce qu’il désire, ce serait bien d’être le contraire, que de son ami !
 –tu as bien raison Junior, il’ ne sait même garder un secret, tu ne devais pas être au courant de ma missive !
Katty annonçait la nouvelle a tous les élèves, elle regroupait toute la classe t expliquerait comment Jerry l’un de nos camarades est un méchant  qui a pour jeton « la sagesse » pourtant c’est un coureur de jupon. Jerry était surpris d’entendre ce discours affreux en plus elle l’a réprimandé devant toute la salle, quelle honte ! Jerry maitrise ses émotions  il courbait sa tête pour essayer de penser à autres choses, le présent sur terre  était pour lui un monstre ! Il restait muet durant toute la journée !
_ Salut maman !
_ Bonsoir Jerry ! Des pierres de désolation étaient aggravées dans ses yeux ! Quelque chose ne va pas mon fils ? Non pas du tout  maman au contraire ! Jerry n’attendait pas longtemps pour dresser une lettre à Katty




Chère Katty
Je sais que parfois la vie est munie de tristesse je ne t’écris pas pour te venger par ma plume, mais pour te prouver mon innocence et te remercier pour les affreuses mensonges que tu as invente, pour prouver que j’étais un idiot, un abruti, etc.… donc, je te remercie ! Pour ne pas oublier, même-si je suis indigne de te parler, accorde-moi cette faveur ! Celle de répondre a cette question : pourquoi tu as invente ces propos ? Je ne t’ai rien fait, au contraire je voulais bien être ton ami, comme tu me le demandais !

De JERRY à KATTY
KATTY s’affale dans son fauteuil préféré, elle dit a sa sœur : ou es tu Myriam ?
–sur la pelouse !
 –prends mon sac, apporte-le pour ta grande sœur chérie !
 –tiens, paresseuse, tu fais que manger dans cette maison,
-euh, petite Myriam, on ne traite pas les gens de paresseux (se), tu ne sais même pas sa nature ?
–Maman me l’a pourtant dit Katty, c’est quelqu’un qui n’aime pas travailler
–tu te trompes petite sœur, le paresseux est un animal qui à la taille d’un petit chien, dote d’une fourrure floconneuse, et c’est l’un des animaux les plus lents du monde,
-Merci Katty, doc les mamans ne savent pas absolument tout.
 –d’accord, ce serait mieux d’aller étudier tes leçons !
–tout de suite, puisqu’on doit obéir a l’ainée ! Katty a trouve la lettre de Jerry dans son sac, elle n’a pas voulu la lire, mais son cœur l’a oblige. JERRY de son cote était orphelin de son pardon, le lendemain, Jerry se leva de bonne heure il’ était le premier apparu à l’école ! KATTY a fini ses taches ménagères vers 5h : 15am, son père passait la déposer a 6heures et demie,
-Katty apparait dans l’embrasure de la porte pour qu’elle puisse pénétrer dans la classe, elle voit Jerry, au lieu d’avancer, elle tourna sa face et essayer de franchir la porte !
KATTY ? KATTY ? dit Jerry rapidement, elle étonna parce que c’était pour la première fois Jerry prononçait son nom,
-elle répond : oui, oui, un problème ?
–pas vraiment, j’aimerais te converser un peu
-ah, bon ! Ce n’est pas encore suffisant, après tout ce que tu as fais, tu veux me faire part de tes victimes ? Je t’en prie ne me parle plus, tu trouves ca formidable ? violer les filles ?
Et la, Jerry commençait à pleurer et il’ dit : comment ca Katty ? Elle répond avec inculpation : tu n’es pas honte ?, il ; est mieux de rester muet quand le préjudice est ton soutien, que d’imiter le renard ! Ta mère est une fille je crois ? Ta grand-mère qui te chuchote, qui te raconte des histoires d’enfances pour te lasser dans les bras de Morphée, tu dois y penser un peu,
 Jerry pleure de plus en plus, puis il’ dit en bégayant : je, je suis coupable de rien,
-Menteur ! Puis, elle ferma la porte BLOW !!!!!! Le bruit pourrait même réveiller les morts. Jerry était désolé, il’ ne sait quoi faire, qui a raconte tous ces mensonges ? –Junior, peut-être ?, oh ! Non, oh non, il’ est mon meilleur ami, alors qui ?
 Pile, a ce moment la, il’ entend : Salut mon copain ! Il’ tourna la tête,
Oh ! Salut Junior, tu étais ou ?
 –Junior répondit : j’étais dans la salle de 2eme qui est en face ! Cette salle est séparé par un tableau, donc ca veut dire que Junior voyait tout ce qui se passait !
 –tu as entendu les propos de Katty en racontant des mensonges innombrables qui me concerne ?
–non, j’ai rien entendu, tu dis Katty ?
–oui, Katty ! –mais, elle est folle Jerry, tu n’as rien de commun avec cette fille ! Puis Jerry lui expliquait tout se passait,
Oh mon copain, toi qui est si gentil, respectueux, je ne crois pas un mot de ce que tu viens de me dire !
Pendant qu’ils parlaient, Katty était entrain d’écouter, -elle restait debout, en pleurant derrière la porte ! –oh ! Mon Dieu, ou suis-je ? Non, je rêve, ca veut dire que Jerry est innocent ! Que je suis idiote ? Katty hurle : dis-moi que ce n’est pas vrai ! Ah non, oh ! Non, je suis entrain de rêver ! Je t’aime Jerry,
Junior dit a Jerry : allons-voir ! Quelqu’un semble,
 Du moment qu’il parlait, Katty ouvre la porte et s’enfonça dans les bras de Jerry ! elle pleura, Jerry pleura aussi, Jerry essaye de lui consoler, mais elle étouffa des larmes, puis, Jerry caressa ses cheveux, elle essaie de se ramener en arrière, elle regarda les beaux sourcils et les yeux marrons et humides de Jerry, elle le regarda sans cesse, rapidement, le désir l’atteindra, elle prit le menton de Jerry et se rapprocha de lui, elle posa ses lèvres si douces et attentionnes sur les lèvres de Jerry, e enfonça un baiser ! Junior lui-même se sentait entrain de rêver. A SUIVRE…

















J’écris ce texte pour ma luxuriante patrie ! Écoutez la prouesse de mon cœur !
           MA PATRIE
Quel mal fais-je ? Si je dis que c’est le bonheur le plus merveilleux ! Quel péché fais-je ? Si je dis malgré tout, on ne pourrait jamais monstrueux ! Ma patrie c’est mon bonheur le plus paisible, je me sens fier d’être et aussi indépendant ! Un jour, on était a l’esclavage maintenant on est libre, grâce a l’amour de nos vieux parents, Ma patrie c’est mon tout cohérent dans la vie ! Le bleu de notre drapeau et l’autre couleur est notre sang, Mon pays n’est pas célèbre mais, c’est mon appui, aujourd’hui nos pensées sont ailleurs, chaque chose a son temps ! J’aime les mangues, les bananes et les noix de coco, j’aime les avocats, la fraise et aussi les abricots ! Ma patrie est belle, vierge et fidele, la cigale chante, sans oublier les voix de nos tourterelles Quel est beau ce pays d’harmonie et de joie, j’ai confiance en lui c’est un devoir et un choix ! Oh ! Ma patrie, ne meurs pas reste en vie !
Si, un jour, je n’existe plus, que ce texte vous rappelle le souvenir d’un patriote !








Quelques Pensées De La Vie
‘’Dieu ne pourrait être une femme, parce qu’il n’est pas un piège pour les hommes’’
‘’La vie est une orange, il faut enlever la pelure pour la manger, sinon tu souffriras durant toute ta vie’’
‘’C’est par le chemin du bonheur qu’on trouve le malheur’’
‘’La vie n’est que vanité, vive la parce que son confrère est pire que lui’’
‘’Si tu crois en toi, tu n’y parviendras jamais, la seule vraie croyance c’est le fait de croire en Dieu’’
‘’Si quelqu’un aime vraiment une fille, il peut aussi aimer Lucifer’’
‘’Ne cours pas sans arrêt, souviens-toi des virgules’’





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dimanche 1 janvier 2012

SOMMERVIL Clifton

ne le 19novembre a p-au-p (carrefour) est un ecrivain ayant plus de passion pour la tristesse que L'amour, ne dans une famille qui n'est pas prospere, son pere est croyant, sa mere est protestante, elle habite a mariani. le texte ''KIYES KI PI ENPOTAN PASEW'' est dedie a sa mere ELMOND MARIE Flaure, et pleurer la douleur de son frere PATERSON Joseph et ses 2soeurs. il a publie un livret durant l'annee 2011, titre ''SAVOIR ET AIMER'' La suite de son WIKIPEDIA serait bientot sur notre BLOG

MASILLON COICOU

Massillon Coicou

Massillon Coicou
Le poète et diplomate Massillon Coicou.
Le poète et diplomate Massillon Coicou.

Nom de naissance Jean-Baptiste Massillon Coicou
Activités Ecrivain, poète et homme politique
Naissance 9 octobre 1867
Drapeau : Haïti Port-au-Prince (Haïti)
Décès 15 mars 1908
Drapeau : Haïti Port-au-Prince (Haïti)
Langue d'écriture Français
Genres Poésie, théâtre, roman
Œuvres principales
  • Poésies nationales (poèmes, 1892)
  • L'Oracle, poème dramatique haïtien (théâtre, 1893)
  • Liberté (théâtre, 1894)
  • Toussaint au Fort de Joux (drame, 1896)
  • L'Empereur Dessalines, drame en deux actes en vers (théâtre, 1896)
  • Passions, primes vers d'amour et variation sur le vieux thème (poèsie, 1903)
  • Impressions; rève des jours de trève (poésie, 1903)
  • Le génie français et l'âme haïtienne (Essai, 1904)
  • L'alphabet (théâtre, 1905)
  • La Noire (roman, 1905)
Jean-Baptiste Massillon Coicou dit Massillon Coicou (en créole haïtien: Masiyon Kwakou), Port-au-Prince, 9 octobre 1867 - 15 mars 1908, est un diplomate, homme politique, écrivain, poète et romancier haïtien.
Coicou a fait ses études dans une école catholique pour garçons, puis au Lycée national.
Après son service militaire, Coicou entre dans l'enseignement et devient professeur au Lycée national.

Sommaire

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Parcours littéraire[modifier]

Il publie en 1892 le recueil de poèmes "Poésies nationales".
En 1893 il présente sa pièce de théâtre L'Oracle.
En cette période d’intense effervescence littéraire, des journaux comme Le Républicain puis L’Union ouvrent leurs pages aux premiers romantiques. L’Observateur, publie de la poésie galante.
C’est en effet la poésie qui va donner ses lettres de noblesse à la littérature haïtienne au cours du XIXe siècle. À partir de 1836 se forme le groupe du Cénacle, avec les poètes romantiques Ignace Nau (1808-1845), Coriolan Ardouin (1812-1838). Plus tard Oswald Durand (1840-1906), Massillon Coicou se réclameront de cette mouvance.

Parcours politique[modifier]

En 1890, le président Tirésias Simon Sam le nomme secrétaire à la légation d'Haïti à Paris, puis chargé d'affaires. En France, il se joint à la vie littéraire de Paris, fréquentant les milieux politiques et intellectuels. Ils publient plusieurs de ses ouvrages.
Il prend les armes contre la dictature de Nord Alexis qui arrive au pouvoir grâce à ses manigances avec les États-Unis, qui l'aident à réprimer l'opposition d'Anténor Firmin.
Lui et ses deux frères ont ensuite été exécutés par les ordres du Président dans la nuit du 14 au 15 mars 1908, devant les murs extérieurs du cimetière de Port-au-Prince. On dit que l'exécution de Massillon Coicou a inspiré à Guillaume Apollinaire dans le recueil de nouvelles et de contes Poète assassiné (1916)1.

Œuvre littéraire[modifier]

  • Poésies nationales (poèmes, 1892)
  • Complaintes d'esclave (poèmes)
  • Vertières (poèmes)
  • Toussaint au Fort de Joux (drame, 1896)
  • Liberté (drame, 1904)
  • L'Alphabet (drame, 1905)
  • La Noire (roman, 1905)

Bibliographie[modifier]

  • Roger Gaillard, La République exterminatrice. Vol V, Le Grand fauve (1902-1908), Massillon Coicou, le poète assassiné, Port-au-Prince, Éditions Le Natal, 1995
  • Massillon Coicou, Poésies nationales, Port-au-Prince, Éditions Presses nationales d'Haïti, 2005

OSWALD DURAND

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Oswald Durand
Portrait d'Oswald Durand.
Portrait d'Oswald Durand.

Nom de naissance Charles Alexis Oswald Durand
Activités Poète, journaliste, homme politique
Naissance 17 septembre 1840
Drapeau : Haïti Cap-Haïtien, (Haïti)
Décès 22 avril 1906
Drapeau : Haïti Port-au-Prince, (Haïti)
Genres Poésie, conte
Œuvres principales

Charles Alexis Oswald Durand ou Oswald Durand, né au Cap-Haïtien le 17 septembre 1840 et mort à Port-au-Prince le 22 avril 1906, était un écrivain et poète haïtien d'expression française et créole, considéré comme le poète national d'Haïti. Oswald Durand est le parolier du Chant national : Quand nos Aïeux brisèrent leurs entraves qu fut l'Hymne national haïtien de 1893 à 1904.

Sommaire

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Biographie[modifier]

Il fut professeur puis directeur de lycée, il épousa en 1863 Virginie Sampeur, haut fonctionnaire (secrétaire du Conseil des Ministres en 1868, délégué élu en 1885),réélu jusqu'à six fois, en 1888 il est président de la chambre, journaliste (il fonda un journal, Les Bigailles). Il connut la prison pour ses idées politiques en 1883, et c'est là, dit-on, qu'il écrivit son célèbre poème en créole, Choucoune, mis en musique par Michel Mauléart Monton, qui a quasiment acquis pour les Haïtiens le statut de second hymne national. Adaptée en anglais sous le titre Yellow Bird et popularisée notamment par Harry Belafonte, cette chanson a littéralement fait le tour du monde. Son refrain original se lit comme suit:

Ti zwezo nan bwa ki tape koute
Ti zwezo nan bwa ki tape koute
Lè mwen sonje sa
Mwen genyen lapenn
Ka depi jou sa
De pye mwen nan chenn
Lè mwen sonje sa
Mwen genyen lapenn
Ka depi jou sa
De pye mwen nan chenn

En 1888, Durand concrétisa l'un de ses plus grands rêves, celui de voyager en France où il fut reçu en triomphe à la société des gens de lettres par le célèbre François Coupée. Son poème Chant national est devenu l'hymne présidentiel du pays. Ce n'est qu'en 1896 qu'il réunit les poèmes qu'il avait donnés aux journaux pendant vingt ans, dans deux volumes intitulés Rires et pleurs. Oswald Durand est considéré par certains comme étant le poète de l'amour.

Choucoune : Intégralité (Poème)[modifier]

Poème d'Oswald Durand, publié dans le recueil Rires et pleurs, Haïti, 1896.
Nous respectons l'orthographe de l'auteur, telle qu'elle a été reproduite dans Kraus Reprint, 1970, pp. 222 et suivantes.
Dèiè yon gwo touff pingoin
L'aut'jou, moin contré Choucoune ;
Li sourit l'heur' li ouè moin,
Moin dit : "Ciel ! a là bell' moune !"
Li dit : "Ou trouvez çà, cher ?"
P'tits oéseaux ta pé couté nous lan l'air...
Quand moin songé ça, moin gagnin la peine,
Car dimpi jou-là, dé pieds-moin lan chaîne !"
Choucoun' cé yon marabout :
Z'yeux-li clairé com' chandelle.
Li gangnin tété doubout,...
* - Ah ! si Choucoun' té fidèle !
* - Nous rété causer longtemps...
Jusqu' z'oéseaux lan bois té paraîtr' contents!...
Pitôt blié ça, cé trop grand la peine,
Car dimpi jou-là, dé pieds moin lan chaîne !
P'tits dents Choucoun' blanch' com' lait'
Bouch'-li couleur caïmite ;
Li pas gros femm', li grassett' :
Femm'com' ça plai moin tout d'suite...
Temps passé pas temps jodi !...
Z'oéseaux té tendé tout ça li té dit...
Si yo songé çà, yo doué lan la peine,
Car dimpi jou-là, dé pieds moin lan chaîne.
N'allé la caze maman-li ;
* - Yon grand moun' qui bien honnête !
Sitôt li ouè moin, li dit :
"Ah ! moin content cilà nette !"
Nous bouè chocolat aux noix
Est-c'tout çà fini, p'tits z'oéseaux lan bois ?
- Pitôt blié çà, cé trop grand la peine,
Car dimpi jou-là, dé pieds moin lan chaîne.
Meubl' prêt', bell' caban' bateau,
Chais' rotin, tabl' rond', dodine,
Dé mat'las, yon port'manteau,
Napp', serviette, rideau mouss'line...
Quinz' jou sèl'ment té rété...
P'tits oéseaux lan bois, couté-moin, couté !...
Z'autr' tout' va comprendr" si moin lan la peine,
Si dimpi jou-là dé pieds-moin lan chaîne...
Yon p'tit blanc vini rivé :
P'tit' barb' roug', bell' figur' rose ;
Montr' sous côté, bell' chivé...
* - Malheur moin, li qui la cause !...
Li trouvé Choucoun' joli :
Li parlé francé, Choucoun' aimé-li...
Pitôt blié ça, cé trop grand la peine,
Choucoun' quitté moin, dé pieds-moin lan chaîne !
Cà qui pis trist' lan tout ça,
Cà qui va surprendr' tout' moune,
Ci pou ouè malgré temps-là,
Moin aimé toujours Choucoune !
* - Li va fai' yon p'tit quat'ron...
P'tits z'oéseaux, gadé ! P'tit ventr'-li bien rond !...
Pé ! Fémin bec z'autr', cé trop grand la peine :
Dé pieds pitit Pierr', dé pieds-li lan chaîne !

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Œuvres[modifier]