CITATIONS

Rien n'avait fondamentalement changé dans le monde, seuls les mots, les formules, les formes de la domination avait varié (JACQUES STEPHEN ALEXIS)

J'ai toujours eu pour devise: Dieu, ma patrie et ma femme. Ma femme n'y est plus, mais Dieu et ma patrie me restent, Je ne faillirai point. » (NORD ALEXIS)

Pour être toujours exposé aux dangers de mort, on est comme immunisé par les germes de la mort(JEAN BERTRAND ARISTIDE)

our que la langue [créole] soit l'instrument de progrès qu'on voudrait, il faut qu'elle puisse accumuler, critiquer, refaire, analyser, systématiser, comparer les récits, les solutions, les échecs; elle n'est plus alors seulement un conduit, mais bien le lieu où la pensée enfin existe, où elle se fait critique, où elle se fait accumulative, bâtissant et projetant au-delà de ce qui est donné (BAJEUX JEAN CLAUDE)

Si quelqu'un aime vraiment une fille, il peut aimer aussi Lucifer (CLIFTON SOMMERVIL)

Le mouchard est un individu qui a peur, qui se faufile pour savoir, qui flatte pour être toléré, qui memndie la confiance de ceux qu'il va vendre (DEMESVAR DELORME)

Que m'importe le jugement de la postérité, pourvu que je sauve mon pays (JEAN JACQUES DESSALINES)

Chaque époque se crée un humanisme à sa mesure. Et chaque peuple, au cours de cette époque, y imprime sa totalité ethnique (FRANCOIS DUVALIER)

Honte à tous ceux qui, oubliant leur devoir envers la patrie, en appelle à l'étranger (ANTENOR FIRMIN)

Le rêve est inconstestablement le premier des chemins qui conduisent à la liberté. Rêver, c'est dejà être libre (FRANK ETIENNE)